Londzau Midiaz
Clan :
~Feuille personnage.~ Âge du perso: 35 ans Rang: Bloc-Notes:
| Sujet: Londzau Midiaz Mar 2 Fév - 7:56 | |
| Ω I d e n t i t é : ● Nom : Midiaz ● Prénom : Londzau ● Age : 35 ans ● Sexe : Masculin ● Clan : Hydros d'origine, Sang-Mêlés d'adoption ● Métier : Chef de la Milice ● Phobie : Mourir ● Tic/manie : Fumer Ω D e s c r i p t i o n : ● Physique : Londzau est imposant par sa taille, car il avoisine les deux mètres. Il est très bien battis, avec de larges épaules, des muscles affûtés et des abdominaux sculptés ( qu'il ne manque jamais d'exposer). Il a un visage tout aussi carré, encadré de cheveux mi-long d'un châtain très foncé. Il affiche souvent un sourire narquois, qui avec un regard bleu clair, peut le transformer en atout charme.
Il s'habille très simplement, un pantalon noir bien souvent, avec des chaussures lacées et cramponnées, le buste à découvert uniquement traversé par un bandoulière de cuivre tanné contenant armes blanches et autres substances illicites. Bien évidemment, d'autres armes sont camouflées ici et là … Le seul moment où il se vêtit davantage, c'est lors des missions avec sa Milice, où il porte une cape-capuchon d'une couleur rouge bordeaux.
Il a également un tatouage sur le dos, entre les deux omoplates, qui casse avec sa stature carrée, car il s'agirait d'un motif de broderie... ● Caractère : Cet homme a un caractère affirmé et il sait le mettre en valeur. Pour cause, Londzau est avant tout un homme narcissique et hautain, dont le charisme est avéré. Ainsi, même moqueur, il instaure une aura autour de lui et envers lui.
C'est un homme qui se plaît en tant que chef, et il estime en être digne. Ses atouts sont d'ailleurs son esprit d'endurance et de fin manipulateur.
Par contre, même si il est fidèle a ses camarades d'armes, il n'en ai pas de même côté cœur étant un charmeur né.
Aussi il a un goût prononcé pour la violence, et savoure chaque vie qu'il peut ôter par ses soins. Ω H i s t o i r e : ● Votre histoire : - Enfance:
Né au coeur de la chaine de montagnes de Komaé, Londzau voit le jour dans une maison de fortune par sa mère Löndeh, et une voisine ( son père étant au front). D'ailleurs, son paternel absent en ce jour, sera toujours un étranger pour son fils, qui ne le verra en tout est pour tout que deux fois, lors de permissions accordées par le gouvernement Hydros. Pas davantage car Zauhiv Midiaz mourra lors d'une bataille lorsque Londzau n'est âgé que de 6 ans. Ainsi, l'unique héritier de la famille a toujours été considéré comme le chef de la famille, entre le père absent et sa mère qui adorait son enfant roi. D'ailleurs, sa mère se sacrifia toute sa vie pour son fils unique. Chaque jour, elle s'épuisait dans les mines , travaillant plus de quinze heures par jour, dans l'unique volonté de subvenir aux besoins de Londzau. Et il en avait des exigences ! Dès son plus jeune âge, il avait adopté des comportements de mâle dominant, désirant voir exécuter ses désirs tels des ordres. Sa mère ne pouvant rien lui refuser, le faisait avec fierté. Tandis qu'elle se tuait à la tâche, Londzau savourait son statut d'homme fort, faisant à sa guise. Détestant l'ordre quand il ne venait pas de lui, il se désintéressa très vite de l'école et du maniement des éléments, qui demandent patience et exigence ( cela pouvait lui convenir) mais règles extrêmement strictes ce qui dépassaient le jeune fougueux. C'est pourquoi, il apprit vite le maniement des armes, depuis le jour de son cinquième anniversaire, le seul souvenir qu'il est avec son père lors d'un cours particulier lui faisant une démonstration précise de la pratique de ces armes blanches et tranchantes. A treize ans, le voilà qui était déjà un maître en la matière, avec un physique avantageux et imposant, qui faisait imposer le respect dans la petite contrée reculée où il vivait, et qui savait ravir le regard des jolies filles.
Bien que n'ayant pas de perspective d'avenir tracée ou envisagée, avec un quotidien rangé dont il était le seigneur, Londzau vivait sereinement. Cependant, un matin d'Inelu, un accident eu lieu à la Mine de Diamants. Aussitôt informé, Londzau se précipita sur les lieux avec tous les habitants du coin. Un explosif Hydros – habituellement adapté pour agrandir les galeries – avait dysfonctionné et avait ensevelit les ouvriers présents dans la galerie. Ouvriers dont Löndeh faisait partie. C'est ainsi que Londzau se retrouva orphelin : par les Pyros pour son père, par les Hydros pour sa mère. Il fut bouleversé, mais pas au sens premier du terme. Il ne s'écroula pas de sanglots, ne fuyant pas la situation. Il ressentit un soulagement. Cela avait été le cas déjà avec le départ de son père, qui avec sa disparition, lui enlevait de la concurrence. Pourtant, contrairement à ce que pensait Londzau, ici ce n'était pas tout à fait la même chose. Oui, il était totalement libre, autonome. Mais cette femme l'avait entretenu, lui avait tout cédé, lui était dévoué. Sa mère l'avait aimé corps et âme. En rentrant dans cette modeste baraque qui était désormais sienne, Londzau ressenti une chose pour la seule fois de sa vie : une triste mélancolie. Apercevant sur la chaise en bois une dentelle inachevée, il revoyait sa mère lui souriant. Même si il ne s'était jamais vraiment rendu compte, si il n'avait jamais compris avant aujourd'hui, même si il ne lui avait jamais dit, il l'avait aimé. - Armée Hydros:
Avant même d'avoir prévu de se retourner, le lendemain, le gouvernement vint le réquisitionner pour faire son service militaire pour ensuite l'enrôler dans l'armée. Un dernier hommage succinct à sa mère et voilà que Londzau quittait pour la première fois sa terre d'origine, qui au fond de lui savait déjà, qu'il ne reverrait plus. Commença un nouveau pan de sa vie . Lui qui se retrouvait seul face à son avenir devait obéir à des ordres, même indépendant de sa volonté car ici l'école buissonnière était puni par le supplice suprême. D'autant plus que c'était aussi la première fois où il se retrouvait face à des hommes plus forts et compétents que lui. Muselé par son unique phobie -celle de sa mort – et désirant mûrir pour devenir plus fort, il se plia aux règles de cette formation imposée. Même si il fut vite apparut que les éléments n'étaient pas sa tasse de thé, on lui releva rapidement qu'il excellait dans les combats au corps à corps. Londzau s'épanouissait dans cette pratique et il s’entraînait des heures à n'en plus pouvoir les compter afin d'être au summum de ce qu'il appelait son art. A 16 ans, au vu de ses capacités, ses supérieurs décidèrent de le grader au statut de caporal après ses classes et de l'affecter de suite sur la ligne de front.
Le 12 Myaret 132 est une révélation pour Londzau. Il est face à un champ de bataille où se mêlent chaleur ardente, froid polaire, explosions tonitruantes, armures entrechoquées, épées en action. Le spectacle qui se déroule devant lui anime une flamme en lui. Bien qu'étrange pour un natif de la nation hydros, cette dernière se réveilla en ce jour. Menant ses hommes sur le front, il prit la tête arme levée, sourire éclatant. Il tua pour la première fois. Il se sentit vivant pour la première fois. Voir le sang couler grâce à sa fidèle amie d'acier le remplit d'exaltation. Il était vraiment Lui. Ici, en ce massacre qu'il le mettait en scène, en action, en gloire ! Cette bataille fut une victoire, et fort de cette nouveauté, Londzau les enchaîna fièrement. C'était un prodige de la guerre et les échelons s'accumulèrent successivement malgré son jeune âge. A 18 ans, il était capitaine.
Cependant, sa montée exponentielle, en plus de ne pas plaire à tout le monde, avait redonné à Lodzau sa fugue de sa jeunesse, laissant réapparaître l’imbu de la personne, mais avec quelque chose en plus : c'était justifiable. Il était fort, puissant, avec des hommes dévoués sous ses ordres qu'il savait faire respecter et obéir d'une main de fer. Le capitaine dérangeait. Trop turbulent, de plus en plus effronté face aux ordres de ses supérieurs, mais d'une dextérité sanglante impressionnante... Pour calmer cette « immaturité mégalomane », Londzau fut averti qu'il ne pourrait pas davantage grader avant d'avoir prouver sa bravoure, malgré les preuves de ses victoires... Pourtant invaincu, ses supérieurs ne changèrent pas d'avis, ce qui eu le don d'exaspérer encore plus le narcissique qui n'était plus sur son piédestal. La rage le gagnait contre son propre clan, ce qui n'avait jamais été le cas auparavant...
Ne pouvant plus assouvir ses victoires sur le terrain de la guerre ( bien qu'il prenait toujours un plaisir fou d'aller sur le front), il décida d'assouvir sa puissance par un autre intermédiaire. Homme viril et charmeur, il avait en parallèle un joli succès avec les femmes. Qu'elles soient issues des contrées aux alentours des champs de guerres, cousines ou sœurs des ses soldats, il n'y avait aucune limite. Aucune. Son palmarès fut alors son paroxysme lorsqu'il réussit à charmer l'élégante et sublime femme de son Général. C'était une relation dangereuse pour eux deux, mais Londzau n'avait pas de limite. Et il le méritait, il le savait. Il eut une relation avec cette haute-bourgeoise Ajutine, prouvant une fois de plus qu'il était maître de toute ses volontés.
Mais un jour, en plein acte, ils furent tous deux surpris par le Général en personne suspicieux et horrifié de cette trahison. Sourire mesquin, Londzau tenait sa vengeance. La lame de son supérieur lui effleura la tempe avant de revenir à la charge. Esquivant avec brio et retournant la lame contre son propriétaire, il le blessa au flanc d'une large blessure. Brandissant à nouveau l'épée, s’apprêtant à assassiner celui qui l'avait diminuer, Londzau s'élança. Avant de toucher la carotide du haut guerrier, la lame se fracassa, telle de la glace brisée. Les éléments allaient être contre lui, Londzau en était conscient. Profitant du fracas de l'eau figée sur le sol pour battre en retraite, il nargua son adversaire en embrassant son amante une dernière fois avant de déguerpir, s'enfonçant dans la forêt obscure.
- En solitaire:
A 20 ans, le voici qui était déserteur de l'armée Hydros qui le recherchait pour peine de mort pour cause de Haute Trahison, et par l'armée Pyros pour cette même peine capitale au vu de son répertoire de meurtres de soldats. Mais il n'avait pas peur. Il était libre. Certes, il avait dû abandonner ses hommes, mais ils auraient bientôt un nouveau chef bien docile pour les diriger. Un nouveau chef mais jamais aussi bien que lui. Et lui, il se reconstruirait et lui aussi deviendrait chef, mais pour lui uniquement.
Ainsi, de 136 à 139, il parcourut Vidia, se cachant habilement en échappant à ceux qui voulaient sa tête, gagnant sa vie en étant tueur à gage pour quelques nobles ou autres personnalités ne voulant pas prendre le risque d'avoir un différent avec la justice de leur gouvernement. La solitude avait du bon, une sensation de liberté et de puissance qui n'appartenait qu'à lui...mais il était un homme d'exception, et ce n'était pas comme ça que devait vivre un homme de telle envergure...
Comme si ses pensées avaient été perçues, ses pas lui firent rencontrer ceux d'un homme meurtri et avide de justice. En cette fin d'année 139, un certain Kujeg Gann s'adresse à lui pour faire appel à ses services. Contrairement à ses clients habituels, cet individu est partisan du clan Sang-Mêlé, clan étranger à Londzau. De plus, ce monsieur Gann ne recherche pas en lui un soutien éphémère. Cet homme d'âge mûr était à la recherche d'alliés prêts a se dévouer entièrement à une cause, la réhabilitation de la justice par l'action, et les faits relaté sur Londzau lui avait fait dire que ce profil correspondait parfaitement à ce regroupement. Le sans-terre qu'il était, Londzau vit en cette proposition sa chance d'accomplir son destin. Il pourrait rejoindre des rangs privilégiés, indépendants et où son art serait salué. Aussi, il bénéficierait d'une protection reconnue parmi ces sang métisses, qui ne manquerait pas de faire enrager ses ennemis. Il accepta de rejoindre ces rebelles, qui ont pour nom La Milice. Certes peu nombreux mais intégristes dans leur conviction.
- La Milice:
Londzau se retrouva parmi un groupe d'une trentaine de personnes, partisans de la reconnaissance des Sang-mêlés en tant que digne patrie, à l'égal des Hydros et des Pyros. Une alternative au gouvernement Iellune, trop diplomate et laxiste. Très vite, il vit une occasion en or pour bien se placer auprès du chef Kujeg qui l'avait recruté. Apprenant de son passif et voyant son avenir à la hauteur de sa valeur, il devint le membre de la Milice le plus appliqué, le plus valeureux. Ses qualités de vainqueurs de guerre furent d'une précieuse aide, tandis que Kujeg lui apprit le maniement des éléments afin que Londzau puisse au moins réussir à se défendre grâce eux. Afin de mettre toutes ces chances avec lui, le bellâtre se rapprocha rapidement de la fille Gann, Mathymia. Une jeune femme meurtrie, pleine de hargne et de colère, déterminée. Jouant de son charme, celle-ci céda rapidement de lui. Alors, en plus d'être le bras droit de Kujeg, il faisait partie de la famille, quasi officiellement. Tout était presque parfait. Car le jour de sa consécration ultime était proche. Des journées, voire des années d’entraînements passèrent et enfin, il était temps de passer à l'offensive. La première grande attaque qu'allait mener La Milice.
Elle eut lieu en la nuit du 21 Lasbon 144.
La détermination sans faille permit à l'ensemble de la Milice permit d'atteindre la capitale Pyrolia et de créer un attentat contre les quartiers nobles. Un joli succès, qui permit à Londzau de renouer avec sa passion sanguinolente. Une revanche sur la passé et une promesse pour le futur. Futur qui se jouait à cet instant précis. Tandis que la Milice gagnait sa justice, un retournement de situation eut lieu, emportant plusieurs partisans dans une mort certaine. Londzau réussit à sauver Mathymia, bien que gravement blessée au visage, et à guider les autres pour battre en retrait. Quatre des leurs ne revinrent pas, dont les deux parents Gann. Prisonniers et exécutés le lendemain. Une victoire pour légitimé la Milice en tant qu'adversaire de taille. Un deuil inacceptable pour leurs membres. La disparition des fondateurs rendant leur dévouement encore plus fort. Mais point de deuil pour Londzau. Une triple victoire. Celle d'avoir renouer avec son plaisir du combat. Celle d'avoir été le sauveur de la fille Gann. Celle d'avoir été désigné à l'unanimité comme nouveau chef de la Milice.
Londzau avait tout. Puissance et reconnaissance.
- Aujourd'hui, an 151:
Dès lors et jusqu'à aujourd'hui, c'est lui qui guide la Milice dans ses actions, dans ses attaques. Il a à ses ordres une assistance qui à la fois le craint et l'admire, si dévouée et jamais discuté.
La Milice est à la fois reconnue comme dangereuse en Vidia et à la fois protégée sous le joug des terres Sang-mêlées. Londzau Midiaz est une personnalité connue et reconnue. Car même si lors des missions son visage est masqué, il à la prétention de toujours signer ses victimes de leur sans avec un large « M » surmonté d'un « z », marque de la Milice et de son nom de famille pour ridiculiser ses adversaires. En territoire violine, il est a visage découvert, qui d'un accord tacite lui permet de circuler si aucuns troubles il n'effectue ( car il n'y a pas qu'un avantage a être l'homme de Mathymia, fille de Kujeg, protégée de Myalao Iellune).
Londzau est pleinement lui. Maître Libre et Puissant ! Si puissant... et il le sait !
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